Antropólatras.


Tal cual Vd. lo ha leído.

Antropólatra, o 'que idolatra al hombre'.

Viene este vocablo de Anastasios Gordios, quien en un tratado escrito hará unos 300 años, despotrica de lo lindo contra el papado.

Regocíjese Vd. también:
On peut ainsi lire dans la Στηλίτευσες: « Quand Pierre a-t-il ordonné qu'on lui baise les pieds pour que le Pape en fasse autant? Quand Pierre a-t-il permis qu'il existe tant de signorine, c'est-à-dire de prostituées dans les cités et que le pape en perçoive les impôts pour les frais de sa table, ce que fait justement le Pape, se montrant ainsi entreteneur et nourricier des prostituées? » — « Le Pape est un monstre composé d'une forme humaine et d'un esprit démoniaque, ou bien, c'est un système et une combinaison de toutes les hérésies et impiétés; un rebelle et un révolté résolu contre le Christ, les apôtres et les saints pères; un ami et un associé de toutes les hérésies. Abandonnant la foi du Christ, il a rassemblé toutes les hérésies anciennes et nouvelles et fabriqué une foi qui lui est propre » — « II a corrompu tous les dogmes de l'Église ». — « Le Pape est l'apostat au point de s'installer dans le temple de Dieu réclamant pour lui qu'il est Dieu... c'est pourquoi, il demande que se sujets croient en lui et l'adorent et on leur pose la question : « crois-tu au Pape? ». C'est cela votre foi et votre culte et c'est pourquoi on vous appelle « les papistes ». Vous adorez le pape et vous devenez ainsi des anthropolâtres, ce que même les grecs (— païens) n'avaient jamais fait » — « La Bête, c'est le Pape; les deux cornes ce sont ses deux pouvoirs. Et la phrase « il parlait comme un dragon » que signifie-t-elle? ... « je placerai mon trône au-dessus des nuages qui sont l'Église et je serai semblable au Christ très-Haut, devenant comme Lui la tête de l'Église.

Argyriou Astérios. Remarques sur un traité contre les hérésies latines attribué à Anastasios Gordios. In: Revue des études byzantines, tome 27, 1969. pp. 229-234.
DOI : https://doi.org/10.3406/rebyz.1969.1422
www.persee.fr/doc/rebyz_0766-5598_1969_num_27_1_1422
1710.
Nam stat fua cuiq~ dies, breue et irreparabile tempus.

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